Notre histoire

Une présentation des fondateurs du projet

On aime le sport.

Ça fait des années que Val et moi partageons cette passion. C’est ce qui nous a permis de connecter en premier, et c’est resté. Randonnées, entraînement, spikeball, badminton, on peut jouer pendant des heures au ping-pong l’un contre l’autre.

C’était avant d’avoir de jeunes enfants 😅. Maintenant, c’est plus difficile de se trouver des moments de jeu.

Notre autre passion, c’est les voyages. On a connu le pickleball dans notre roadtrip de famille aux États-Unis. C’est à Austin, au Texas, qu’on vraiment eu le goût de l’essayer. On est passé à côté d’un parc où ça jouait fort, des jeunes et des vieux. On a réalisé que le pickleball traversait les générations.

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Ce n’est pas parce qu’on aime le sport qu’on démarre un projet ambitieux comme le Pickle, mais ça aide.

Valérie travaillait en agence marketing depuis 15 ans. Elle aimait son travail, mais voulait changer d’air. Ça faisait un bout de temps qu’elle me parlait de plus de flexibilité, de moins de stress et d’une meilleure conciliation travail/famille.

Puisque je suis en affaires depuis un bout, je lui proposais toujours ma solution préférée: l’entrepreneuriat. Pendant des années, on a regardé différents projets ensemble sans jamais faire de suite.

L’idée du centre Pickle est venue comme une épiphanie. Du sport, une communauté, un projet qui tombe directement dans nos cordes.

On a fait nos recherches, et on ne comprenait pas pourquoi les options de pickleball étaient si limitées dans un grand marché comme Montréal.

Peut-être parce le pickleball est possiblement 3 ans derrière les USA dans sa croissance au Québec. On y trouve une communauté de passionnés, mais rien d’équivalent à la folie au sud des frontières.

Pourtant, tout ce qu’on sait du pickleball aux États-Unis s’applique ici. C’est la version accessible du tennis. Plus rapide, plus facile à apprendre, plus social. Ce n’est pas pour rien que ça a été facile de nous convertir, mais aussi que le pickleball continue de s’étendre comme un feu de forêt en Amérique.

Une histoire en suit une autre, Pickle sera dans les anciennes installations de Glutenberg

On s’est dit que si personne ne le faisait, on allait prendre la balle au bond.

On allait faire un projet pour la communauté existante, mais aussi pour convertir de nouveaux adeptes. On sait déjà que 60-70% de nos futurs abonnés n’ont jamais encore touché une raquette de pickleball dans leur vie.

C’est un gros changement. Valérie a officiellement lâché sa job pour travailler à temps plein sur le projet. Un saut dans le vide.

Notre but est de faire du Pickle un succès retentissant. Pour nous, pour la communauté, pour le sport.

Merci de faire ça avec nous.

Thomas et Valérie

We love sport.

Val and I have shared this passion for years. It's what first connected us, and it's stayed with us. Hiking, training, spikeball, badminton, we can play ping-pong against each other for hours.

That was before we had young children 😅. Now, it's harder to find moments to play.

Our other passion is travelling. We got to know pickleball on our family roadtrip in the United States. It was in Austin, Texas, that we really got the taste for it. We passed by a park where young and old were playing hard. It was the realization that pickleball crosses generations.

The family

Just because you love the sport doesn't mean you start an ambitious project like Pickleball, but it does help.

Valérie had been working in a marketing agency for 15 years. She loved her job, but wanted a change of scene. She'd been talking to me for some time about more flexibility, less stress and being in control of her own schedule.

Since I'd been in business for a while, I always suggested my favorite solution: entrepreneurship. For years, we looked at different projects together, but never followed through.

The idea for the Pickle Center came like an epiphany. A sport, a community, a project right up our alley.

We did our research, and couldn't understand why pickleball options were so limited in a big market like Montreal.

Maybe because pickleball is perhaps 3 years behind the USA in its growth in Quebec. There's a community of enthusiasts here, but nothing like the madness south of the border.

Yet everything we know about pickleball in the U.S. applies here. It's the accessible version of tennis. Faster, easier to learn, more social. It's not for nothing that it was easy to convert us, but also that pickleball continues to spread like wildfire in America.

We figured that if nobody else was doing it, we'd jump on the bandwagon.

We were going to do a project for the existing community, but also to convert new fans. We already know that 60-70% of our future subscribers have never touched a pickleball racket in their lives.

It's a big change. Valérie has officially quit her job to work full-time on the project. A leap into the void.

Our goal is to make the Pickle a resounding success. For us, for the community, for the sport.

Thank you for doing this with us.

Thomas and Valérie

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